Il était une fois…l’Australie !

Qui n’a pas déjà entendu parler de partir en Australie au moins une fois ? 

On a tous autour de nous une connaissance qui est partie arborer ce sol aussi lointain soit-il. Si ce n’est pas le cas, peut-être que cette idée de partir en Australie t’a alors traversé l’esprit à toi-même, ou que tu es déjà en train de t’organiser pour y déferler.

Hé oui ! Il était une fois…l’Australie, l’histoire de centaine de milliers de Français qui s’expatrient vers ce pays continent, et dont le nombre ne fait qu’augmenter chaque année.

Toujours aussi prenant de parler de cette expérience d’il y a maintenant quelques années. Le temps passe mais les souvenirs restent, et tellement intacts, que je vous emmène avec moi replonger dans quelques-uns de ces souvenirs. 

Alors si toi aussi, après t’être perdu en cours de route, après des études ou tout simplement un ras-le-bol, tu souhaites tout quitter et partir en Australie, tu te reconnaîtras, en moi, en nous, en toi !!

Et pourtant, dès lors qu’on parle de partir en Australie, ça y est, c’est tout de suite une excitation qui nous prend ! « Je vais partir, loin, avec qui ? Seul ? Pas grave ! On y va… »

C’est ainsi qu’il était une fois…l’Australie.

Plusieurs intentions sont venues m’entourer avant ce départ (lien article : https://osezlaustralie.fr/jai-oze-partir-en-oz/) : 

  • Améliorer mon Anglais pour un retour « Fluent »,
  • Voyager et découvrir de nouvelles cultures,
  • Aller à la rencontre des musulmans de l’autre côté du globe,
  • Me chercher, pour me découvrir (car dans le fond, on ne se connaît que lorsque l’on est confronté à des situations qui nous sortent de notre zone de confort.

Mais ça y est, je suis parti et là, il n’est plus question de faire du « sur place » car je dois avancer, vivre, travailler et manger. Cela n’arrivera que si je cesse de penser ! 

Ah bon ? Et qui a dit que je n’avais pas le droit de penser ? Bien au contraire ! Penser et méditer, voilà bien une qualité que j’ai eu l’occasion de développer là-bas.

Les journées ont l’air tellement longues, que 24 heures ont l’impression de suffire pour faire tout ce que nous ne pourrions faire ici en 24 jours. Et oui, même le temps de penser et méditer…

Après tout ce que l’on a l’occasion de voir, entendre et rencontrer d’aussi inhabituel que grandiose, cela laisse place à l’imagination et à l’esprit pensif ! 

Ose !
Farouk
 

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